Technique-TP

Topographie et guidage #7
2) Les menus :
Les logiciels des carnets de terrain ont plusieurs menus pour bien séparer chaque tâches que l’on peut effectuer.
a) a) Projet :
Dans le menu projet, on va pouvoir gérer tous les projets, en créer des nouveaux, en ouvrir des existants, en effacer etc.

Topographie et Guidage #7
Lorsque l’on créer un nouveau projet, on va pouvoir lui donner le nom que l’on veut, y renseigner les instruments que l’on va utiliser, avec leur paramètres, le système de coordonnées, les géoïdes et les unités.

b) Paramètre :
Dans le menu paramètres, on va retrouver tout ce qui concerne les paramètres des instruments, le changement des systèmes de coordonnées et plusieurs réglages pour personnaliser le carnet comme on le veut.

Topographie et Guidage #7

c) Paramètres GNSS :

Pour les paramètres GNSS, on y trouver la marque et le modèle du récepteur, c’est la radio qui va principalement être à configurer, ondes radio ou réseau téléphonique mobile, on va y retrouver tous les paramètres vu précédemment. Les paramètres sont à renseigner pour la base et pour le mobile, les paramètres doivent être identiques pour les deux pour que la liaison radio fonctionne.

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d) Paramètres stations :

Pour les stations, on va aussi retrouver la marque et le modèle de la station, puis le type de connexion entre le carnet de terrain et la station et le modèle du prisme. On peut ajouter un petit appareils au prisme pour améliorer la recherche de prisme de la station, il faudra renseigner les canaux utilisé.

Topographie et guidage #7
Primes avec appareils pour améliorer la recherche de prisme

Topographie et guidage #7

e) Import/export de données :
L’import/export de fichiers, comme son nom l’indique va servir à transférer les différents données du carnet de terrain à un ordinateur de bureau, un autre projet ou directement un fichier machine pour du guidage. On peut transférer plusieurs choses, des points, des lignes, des MNT, bibliothèques de codes ou des localisations. On retrouvera plusieurs formats de fichiers possibles des plus courant (.DWF ; .DXF ; .txt ; .xml…) ou des formats plus particuliers utilisés par les différents constructeurs.
f) Édition de données :
D’ici on va avoir accès à toutes les informations sur les points, les lignes, les calques, les codes… On pourra en ajouter manuellement ou les modifiés, pour éviter les erreurs certains sont verrouiller pour éviter de changer les coordonnées d’un point de contrôle par exemple.

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g) COGO :
Ici, on va pouvoir interroger le logiciel pour connaitre des distances entre points, entre lignes et points, calculer une surface, un volume, un angle, transformer un plan… On retrouve aussi une calculatrice qui peut s’avérer utile de temps en temps.

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h) Carte :
Sur la carte on retrouve le projet vu d’ensemble, on peut zoomer, on peut éditer des éléments d’ici aussi. On peut créer des lignes, des courbes, des lignes moyennes à partir de plusieurs points, la liste calques etc.
i) Connexion :
Ce menu sert à connecter le carnet de terrain à l’instrument, il y a deux modes soit pour le GNSS soit pour la station, celui du GNSS demande si l’on se connecte à la base ou au mobile, cela modifie le reste du menu. En se connectant à la base le menu levé et implantation ne sont pas accessibles et avec le mobile le menu pour démarrer la base n’est pas disponible.

Topographie et Guidage #7

j) Démarrage du récepteur GNSS :
C’est l’un des menus les plus utilisé, quand on est sur le terrain on commence par utiliser celui-là. Il a plusieurs possibilités pour démarrer un récepteur GNSS, soit sur un point connu, soit ou l’on veut en autoposition (station libre), c’est-à-dire que la base sait se positionner à 3m près selon X,Y et Z ou alors faire une localisation. La localisation sert lorsque que les points que l’on connait ne sont pas stationnable mais levable, on démarre la base en autoposition et on ira lever les points connus et le carnet de terrain se positionnera dans le bon repère. Après chaque mise en station, il est préférable de contrôle quelques autre points connus pour vérifier que la base est démarrée correctement.
Pour le démarrage sur un point connu il faut entrer le nom du point, on peut le retrouver sur la carte ou dans la liste de point. Les coordonnées du point s’affiche. Il faut aussi renseigner la hauteur de la base, suivant le trépied que l’on utilise soit classique ou un trépied à hauteur fixe il faut dire si la hauteur mesurée est verticale ou inclinée. Pour démarrer en autoposition il faut appuyer sur le bonhomme avec la canne et les coordonnées de la base s’affichent. Pour terminer l’opération il faut appuyer sur démarrer base.
Sur point connu, il faut renseigner le point où est stationnée la station, la hauteur de l’instrument, le point de visée et la hauteur de la canne.

Topographie et Guidage #7
Pour la localisation, il faut créer un projet en WGS84 puis importer ses points dans le repère voulu, une fois la base démarrer en autoposition , il suffit de levé les points connus et le carnet calcul les écarts, plus on a de points plus la localisation sera précise. Une fois la localisation faite, il faut se mettre des points de références pour de prochaines mises en station, il suffira de se mettre en station comme sur un point connu en gardant la localisation enregistrer dans le projet. Les localisations peuvent très exportées pour être envoyé sur un système de guidage machine. Les formats différents selon les constructeurs mais il existe de petit logiciel pour les convertir.

k) Démarrage de la station :
Pour démarrer la station, il y a deux solutions possibles soit sur un point connu soit en station libre. Sur un point connu, il faudra viser un autre point pour que le carnet de terrain calcul le gisement. En station libre, on se met en station ou l’on veut et on lève au moins 2 points puis le carnet de terrain calcul les coordonnées de la station, plus on lève de point plus la position sera précise. Comme pour le GNSS il est préférable de vérifier d’autres points après la mise en station.