Topographie et Guidage #13
Dimension d’un godet inclinable, largeur, longueur entre le bout de la dent et l’axe du balancier et longueur en l’axe du balancier et l’axe d’inclinaison du godet le tout associé au capteur d’inclinaison
4) Évolution :
Des constructeurs comme Caterpillar, Komatsu et Volvo ont dotés leur pelles de systèmes de guidage de série. Elles ont l’avantage d’avoir un mode semi-automatique, l’opérateur agit seulement sur la commande de balancier et la pelle fait le reste, elle gère la montée de la flèche de façon à suivre le projet.
Topographie et Guidages
Topographie et Guidage #14
XIV) Guidage 3D sur différents autres engins :
1) Principe :
N’importe quels engins de travaux publics peut-être équipé d’un système de guidage 3D, GNSS ou LPS (station totale), suivant la précision recherchée.
Le système se compose de capteurs, de récepteur GNSS ou de prismes, d’un calculateur, d’un écran et d’antennes pour recevoir les corrections.
Sur certaines machines (raboteuses, finisseurs) il n’y a pas besoin de capteurs car ces machines ont déjà des capteurs de pente en long et en travers, il suffit juste de récupérer les données de la machine dans le système de guidage et d’installer des récepteurs GNSS ou des prismes.
Le principe, est toujours le même, c’est de connaitre la position de l’outil en temps réel, et de comparé sa position par rapport à celle du projet. Ces machines peuvent être guidées en indication ou en automatique avec un asservissement hydraulique.
Il faut bien entendu calibrer le système, connaitre la position des récepteurs par rapport à celle de l’outil.
2) Quelques photos :
XIV) Guidage 3D sur différents autres engins :
1) Principe :
N’importe quels engins de travaux publics peut-être équipé d’un système de guidage 3D, GNSS ou LPS (station totale), suivant la précision recherchée.
Le système se compose de capteurs, de récepteur GNSS ou de prismes, d’un calculateur, d’un écran et d’antennes pour recevoir les corrections.
Sur certaines machines (raboteuses, finisseurs) il n’y a pas besoin de capteurs car ces machines ont déjà des capteurs de pente en long et en travers, il suffit juste de récupérer les données de la machine dans le système de guidage et d’installer des récepteurs GNSS ou des prismes.
Le principe, est toujours le même, c’est de connaitre la position de l’outil en temps réel, et de comparé sa position par rapport à celle du projet. Ces machines peuvent être guidées en indication ou en automatique avec un asservissement hydraulique.
Il faut bien entendu calibrer le système, connaitre la position des récepteurs par rapport à celle de l’outil.
2) Quelques photos :
Topographie et Guidage #15
XV) Nouvelles technologies :
1) Introduction :
Demain, les chantiers seront de plus en connectés en s’orientant vers deux chemins, selon moi. Vers un premier, le BIM (Building Information Modelling), la modélisation des chantiers en maquette numérique. Tous les éléments d’un chantier de construction jusqu'à la moindre vis sont modélisés sur une maquette 3D dans le système de coordonnées correspondant. Le fait de modéliser tous les éléments du chantier vont permettre, normalement, d’éviter les problèmes de conception entre les différents corps de métier avant de commencer le chantier, qui aujourd’hui sont découvert pendant le chantier. Pendant les travaux, le chantier est constamment scanner avec des scanner 3D et le scan réel est comparé à la maquette 3D et grâce à des logiciels surpuissant permet de comparé les deux et de vérifier que tout est bien à sa place. Le scan est directement calé dans le bon système de coordonnées grâce à des cibles sphérique stationnées sur des points de référence connus, certains scanner 3D sont intégré à des stations totales robotisées et une fois la station est mis en stations, il n’y a pas besoins de cibles sphériques. Pour les clients, on peut aussi projeter le chantier sur place grâce à des outils de réalité augmentée pour qu’il se projette mieux. Le BIM est plutôt réserver au chantier de bâtiment.
Vers un second, pour les chantiers de travaux publics, la digitalisation du chantier passe aussi par un scan du chantier, mais celui-ci est réalisé par des drones, on peut ainsi lever de très grandes surfaces avec une extrême précision en très peu de temps et donc obtenir des résultats beaucoup plus rapidement comparé à un levé fait par un géomètre.
Des entités comme Smart Construction (Komatsu) ou Arkance (Sitech/Trimble) développent des suites de logiciels pour collecter les données du chantier et ainsi connaitre l’avancement en temps du réel, le nombre de tour par camions etc… du chantier. Calculer les volumes journaliers fait par jour grâce aux levés de drones et avoir les informations voulues immédiatement. Ces logiciels permettent aussi d’étudier d’autres solutions, pour les carrières notamment, comme le changement de position d’une piste, le temps de cycle, le renouvellement d’une machine qui sera vraiment dimensionnée en fonction des données du site.
2) Quelques photos :
XV) Nouvelles technologies :
1) Introduction :
Demain, les chantiers seront de plus en connectés en s’orientant vers deux chemins, selon moi. Vers un premier, le BIM (Building Information Modelling), la modélisation des chantiers en maquette numérique. Tous les éléments d’un chantier de construction jusqu'à la moindre vis sont modélisés sur une maquette 3D dans le système de coordonnées correspondant. Le fait de modéliser tous les éléments du chantier vont permettre, normalement, d’éviter les problèmes de conception entre les différents corps de métier avant de commencer le chantier, qui aujourd’hui sont découvert pendant le chantier. Pendant les travaux, le chantier est constamment scanner avec des scanner 3D et le scan réel est comparé à la maquette 3D et grâce à des logiciels surpuissant permet de comparé les deux et de vérifier que tout est bien à sa place. Le scan est directement calé dans le bon système de coordonnées grâce à des cibles sphérique stationnées sur des points de référence connus, certains scanner 3D sont intégré à des stations totales robotisées et une fois la station est mis en stations, il n’y a pas besoins de cibles sphériques. Pour les clients, on peut aussi projeter le chantier sur place grâce à des outils de réalité augmentée pour qu’il se projette mieux. Le BIM est plutôt réserver au chantier de bâtiment.
Vers un second, pour les chantiers de travaux publics, la digitalisation du chantier passe aussi par un scan du chantier, mais celui-ci est réalisé par des drones, on peut ainsi lever de très grandes surfaces avec une extrême précision en très peu de temps et donc obtenir des résultats beaucoup plus rapidement comparé à un levé fait par un géomètre.
Des entités comme Smart Construction (Komatsu) ou Arkance (Sitech/Trimble) développent des suites de logiciels pour collecter les données du chantier et ainsi connaitre l’avancement en temps du réel, le nombre de tour par camions etc… du chantier. Calculer les volumes journaliers fait par jour grâce aux levés de drones et avoir les informations voulues immédiatement. Ces logiciels permettent aussi d’étudier d’autres solutions, pour les carrières notamment, comme le changement de position d’une piste, le temps de cycle, le renouvellement d’une machine qui sera vraiment dimensionnée en fonction des données du site.
2) Quelques photos :
Modifié en dernier par Adri3528 le dim. sept. 12, 2021 12:08 pm, modifié 1 fois.
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